Webinaire coanimé par Cécile Vaugelade, Directrice Affaires Technico-Réglementaires au SNITEM, Sébastien Cadalen, Ingénieur Applications au sein de HP et Sébastien Moussard, Responsable du pôle Performance Industrielle de Polyvia.
Ce n’est plus à démontrer, l’impression 3D permet d’être réactif, d’autant plus en temps de crise !
Si les pièces les plus complexes peuvent être conçues et imprimées en un temps record, il ne faut pas oublier que même produits en urgence, les dispositifs médicaux doivent répondre à des normes et passer des tests indispensables. L’évaluation du DM se fait avant sa mise sur le marché, puis tout au long de sa vie après commercialisation avec des audits annuels, des évaluations et des re-certifications périodiques par l’organisme notifié.
Design et choix des matériaux
Avant toute chose, comme l’indique le SNITEM, il faut noter que les dispositifs médicaux produits en impression 3D sont soumis aux mêmes obligations réglementaires que lorsqu’ils sont fabriqués avec d’autres procédés plus conventionnels. C’est donc le cadre réglementaire européen (UE) 2017/745 qui encadre la conception, la production, la mise sur le marché et le suivi des dispositifs médicaux imprimés en 3D, au travers du processus de certification du marquage CE médical.